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Présentation de la liste "Renaissance"

La liste « Renaissance » pour les prochaines élections européennes rassemble des hommes et des femmes qui ont en commun leur engagement reconnu au service du projet européen.

agir_ la droite constructive prend sa place dans ce large rassemblement, avec les candidatures de Fabienne Keller et de Xavier Fournier, deux élus engagés pour leur territoire et leurs concitoyens, actées dans les 30 premiers noms communiqués.

Les enjeux de ces élections, au moment où les vagues populistes battent plus que jamais les rochers de la démocratie, doivent rappeler à toutes et tous que l’intérêt général, doit toujours dépasser les intérêts personnels ou partisans. Cet intérêt commun est celui d’un projet européen, qui assure la paix et la prospérité depuis la fin de la seconde Guerre Mondiale, mais surtout qui est le seul à pouvoir assurer notre existence collective et promouvoir notre modèle démocratique, dans un monde de superpuissances.

agir_ la droite constructive, qui porte l’Europe dans son ADN depuis sa création, s’engagera partout en France pour défendre ce projet ambitieux de refondation.

Les membres du Comité National d’Action d’agir_la droite constructive

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Vincent Ledoux invité de Soir3 Dimanche

"Agir sera partenaire de LREM pour les élections européennes"

Homme de droite, Vincent Ledoux a pris ses distances avec les Républicains et a co-fondé le mouvement Agir. "C'est une formation qui a vu le jour juste après les législatives pour être partenaire de l'exécutif sur des logiques de projets identifiés avec une liberté de vote totale et essentielle, mais les citoyens aiment cette flexibilité", explique Vincent Ledoux dans le Soir 3 dimanche 10 mars.

"Le grand débat national a permis de donner une respiration démocratique. Le peuple français participe beaucoup plus que ce qu'on pensait au préalable", estime le député du Nord.

 

Lire la suite et voir la vidéo sur le site de France Info 

AGir-pour-lEurope

Élections européennes : agir_, le parti de la droite pro-européenne, participera à la liste de rassemblement

Pour beaucoup de citoyens de l’Union européenne, notamment les plus jeunes, la paix et la prospérité que nous connaissons depuis plusieurs décennies en Europe sont, en quelque sorte, un « acquis ». Et nombreux sont ceux pour qui cette même Europe est devenue une entité abstraite, technocratique et insaisissable, qui ne saurait pas les protéger des dangers du monde : le terrorisme, les grandes migrations, le changement climatique, les conséquences du dumping social, la sécurité sanitaire, etc. Ce rejet de l’Union européenne semble progresser sans barrage.

Que des générations, qui n’ont pas connu la guerre, peinent à reconnaître ces deux réussites majeures de l’Europe que sont la paix et la prospérité, doit nous rappeler à deux devoirs fondamentaux : défendre ce qui a été construit depuis plus d’un demi-siècle, mais aussi et surtout donner un nouveau souffle à l’Europe, capable d’entraîner avec lui de nouvelles générations autour d’un projet commun, refondé.

Le projet présenté aujourd’hui par le Président de la République répond à ces grands enjeux : rassembler et renouveler. Nous nous reconnaissons dans cette démarche, dont l’objectif affiché est de permettre l’existence, au Parlement européen, d’une force politique qui défende l’Europe, qui soit fidèle au projet des pères fondateurs tout en étant résolument tournée vers l’avenir et les réalités du monde qui nous entoure.

Pour rester maîtres de notre destin, l’Europe doit impérativement s’affirmer comme une puissance souveraine et unie, à chaque fois que l’action de ses États membres ne peut pas suffire à elle seule à assurer l’avenir de ses citoyens : développement des technologies majeures à venir, sécurité des frontières, lutte contre le terrorisme et transition énergétique.

Comme à chaque période de « basculement du monde », le succès de cette entreprise oblige

au courage de faire des propositions qui ne sont pas une simple amélioration de l’existant mais l’expression d’une grande aspiration ; oblige à l’écoute des attentes profondes des peuples afin que ces propositions puissent produire des résultats concrets améliorant leur quotidien ; oblige à l’expression d’une certaine part de rêve nécessaire à la mobilisation des énergies humaines.

Ce sont ces nécessités auxquelles répond le projet présenté aujourd’hui par le Président de la République, et c’est pourquoi nous nous y reconnaissons. En tant que parti de droite pro européen, il est de notre responsabilité de participer au rassemblement qui assurera la victoire de ces convictions, en élisant des députés qui soutiendront cette démarche et permettront cette renaissance de l’Europe.

Franck RIESTER
Président du Comité National d’Action

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Communiqué : Investiture en vue des élections européennes

agir_ la droite constructive a présenté son projet pour l’Europe, fruit d’un travail de concertation avec les territoires et d’une consultation publique en ligne, le 30 janvier dernier.

Fort de ce projet, agir_ a mis en place une procédure de sélection de candidats, qui porteront les idées et les valeurs de la droite pro-européenne, libérale et humaniste.  Après information des délégués départementaux puis publication sur le site d’agir_ de l’appel à candidature, la Commission Nationale d’Investiture a étudié un nombre important de candidatures avant d’en retenir quelques dizaines pour des entretiens.

À l’issue de ces entretiens, la CNI s’est réunie et a fait un choix alliant renouvellement et expérience. Conformément aux statuts, le Comité National d’Action, instance dirigeante du parti, s'est réuni ce mercredi 20 février et a entériné la proposition de la CNI, par un vote à l’unanimité.

Parmi les 14 candidats sélectionnés à ce jour, les 4 premiers sont, dans l'ordre, Fabienne KELLER, Xavier FOURNIER, Elisabeth MORIN-CHARTIER et Nicolas BARNIER. 

Après avoir consulté chacun de ses cadres nationaux et départementaux, c’est sur la base de son projet pour l’Europe et de cette sélection de candidats qu’agir_ la droite constructive pourra commencer les discussions avec ses futurs partenaires pour constituer une liste de rassemblement.

Le Comité National d’Action d’agir_

Télécharger le communiqué de presse

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Rappel de l’ambassadeur de France en Italie

Le rappel par la France de notre ambassadeur en Italie est un épisode sans précédent depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale. Cet événement démontre une nouvelle fois, s'il en était besoin, à quel point la paix que nous connaissons en Europe et grâce à l'Europe, depuis à peine plus de 70 ans, est un équilibre fragile, péniblement conquis, et à quel point les populismes qui montent, notamment en Italie, le menacent directement.

Les vice-Premiers ministres italiens ont attaqué verbalement à plusieurs reprises la France et nos gouvernants ces dernières semaines, et ont rencontré des "représentants" des gilets jaunes. C'est une situation grave, violant le principe de non-ingérence dans les affaires internes des pays voisins, amis et alliés.

agir_ la droite constructive dénonce avec la plus grande fermeté cette attitude inqualifiable des dirigeants italiens, et rappelle son engagement total pour la préservation d'une Europe qui protège les peuples tout en respectant les Etats et leurs citoyens dans leurs choix démocratiques.

 

Agnès FIRMIN - LE BODO (députée de Seine-Maritime)
Olivier BECHT (député du Haut-Rhin)
Porte-paroles d'agir_ la droite constructive

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Fusion métropoles-départements : le grand flou persiste !

Le Président de la République a reçu lundi, à l’Elysée, cinq présidents de métropoles comptant plus de 500 000 habitants (Lille, Nice, Toulouse, Bordeaux, Nantes) pour discuter d’une fusion entre instances départementales et instances métropolitaines. Emmanuel MACRON souhaite s’inspirer de l’exemple du Grand Lyon, fusionné en 2015 avec le département du Rhône, en le répliquant à l’échelle d’autres territoires.

Lors de la séance de Questions au Gouvernement, Paul CHRISTOPHE a souhaité interroger le Premier Ministre sur cette réforme, dont les éléments ne parviennent qu’au compte-goutte, à travers la presse et les déclarations des présidents de métropoles.

Le député a mis en garde le Gouvernement contre ce projet de fusion qui présente un risque avéré de fracture territoriale et sociale : « Aujourd’hui, le département est un outil de péréquation sociale. Demain, la réforme telle qu’elle transpire provoquerait l’apparition d’une métropole concentrant toutes les richesses, au détriment du reste du territoire qui s’en trouverait appauvrit ».

Soulignant le manque de recul sur l’expérience lyonnaise, il a rappelé qu’actuellement « il n’existe aucune étude d’impact, ni évaluation, pour déterminer du bien-fondé de cette fusion ».

Paul CHRISTOPHE a également souligné qu’un « schéma-cible département-métropole » ne pouvait pas trouver à s’appliquer partout, tant les disparités entre les départements demeurent flagrantes. Pour ne citer d’un exemple, le département du Nord a une géographie particulière qui s’étire sur plus de 200 kilomètres, dont la métropole lilloise occupe tout l’espace central. Ce qui n’est pas le cas des Alpes-Maritimes ou de la Haute-Garonne.

La réunion élyséenne s’est par ailleurs déroulée en l’absence des présidents des conseils départementaux concernés ; une « discrétion pouvant presque paraître coupable » pour le député.

Paul CHRISTOPHE a donc demandé au Gouvernement un réel éclaircissement sur le schéma-cible « département-métropole ». Comment s’assurer que cette réforme ne sera pas créatrice d’inégalités territoriales ?

La non-réponse de Christophe CASTANER, Secrétaire d’Etat en charge des relations avec le Parlement, n’est pas de nature à rassurer quant aux futures intentions du Gouvernement et conforte malheureusement les inquiétudes des élus.

Paul CHRISTOPHE souhaite travailler sur une mission d’évaluation du Grand Lyon afin d’en déterminer les impacts et les conséquences d’une transposition à l’échelle des autres territoires.

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