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Agir salue l'initiative de délocalisation de Matignon dans un territoire rural pendant 2 jours

Au delà du symbole qui est important, cet exercice permet une véritable prise de conscience des services de l'État grâce à l'immersion totale dans la réalité.

Compte tenu de l'avenir mondial de la France nous souhaitons que Matignon ou l'Elysee puissent être dans les prochains mois délocalisés deux ou trois jours dans une ambassade de France à l'étranger.

La priorité donnée à la construction de l'Europe, l'enjeu des conséquences du Brexit et la proximité des élections européennes m'amènent à suggérer à la France de choisir une capitale Européenne, pourquoi pas Berlin, pour cette première.

Chaque continent pourra ensuite faire l'objet d'une telle approche collaborative, qui saura sans nul doute rapprocher la France de nos compatriotes qui vivent à l'étranger.

Frederic Lefebvre
Délégué national d'Agir

internet

Agir propose de renforcer le plan Très Haut Débit annoncé par le Premier Ministre

Laure de La Raudière, députée Agir d’Eure-et-Loir, salue la volonté du gouvernement de s’engager pour la couverture numérique du territoire tant sur le très haut débit fixe que mobiles, lors de l’annonce faite par le Premier Ministre à l’occasion de son déplacement à Cahors.

Agir souhaite que l’ambition de l’accès au Très Haut Débit par la fibre optique soit retenue, comme cible, au risque de l’apparition d’une nouvelle fracture territoriale à l’issue du plan en 2022, y compris sur la couverture mobile.

Selon la députée, l’objectif de fibrer l’ensemble du territoire doit être un objectif politique majeur, accompagné financièrement afin de résorber efficacement l’inégalité d’accès au numérique. Apporter aux habitations isolées des zones rurales comme seule solution d’accès très haut débit qu’un accès satellitaire, ne peut être que transitoire, tant cette technologie ne permet pas un usage comparable aux réseaux filaires.

Or, seul l’accès à la fibre permet une très bonne qualité d’accès à internet, avec les besoins qui seront ceux des Français demain : « L’accès universel au numérique est devenu un droit, au même titre que l’électricité ou l’eau, notamment avec l’arrivée massive des objets connectés ou de la télémédecine. Agir souhaite enrichir les mesures annoncées par le Premier Ministre avec des propositions très concrètes. »

Laure de La Raudière propose au gouvernement et à l’ARCEP de renégocier avec les opérateurs les indicateurs de mesure de la qualité de services mobiles et d’obtenir des engagements de couverture mobile à l’intérieur des maisons, par département, à l’occasion de la négociation du renouvellement des fréquences mobiles. Ces propositions permettraient de renforcer le plan Très Haut Débit annoncé aujourd’hui par le Premier Ministre, au bénéfice des habitants de nos territoires ruraux.

Dans un rapport co-rédigé avec Eric Bothorel (député LREM, Côtes-d’Armor) en octobre 2017, les deux députés avaient établis un état des lieux de la couverture du territoire en très haut débit, et formulé vingt propositions concernant à la fois la couverture fixe et la couverture mobile, notamment l’exigence d’avoir fibré 100% des Français en 2025 et l’arrivée de la 4G pour tous en 2020.

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Agir se félicite du succès de la conférence internationale One Planet Summit

Le Sénateur Jérôme Bignon y représentait le mouvement, au nom de notre engagement à protéger la planète et assurer une transition énergétique réussie.

Nous nous réjouissons de cette initiative qui, dans un mode plus resserré, vise à trouver de nouvelles manières de financer la lutte contre le changement climatique. Dans un monde sujet à de plus en plus de catastrophes naturelles, ce verdissement de la finance est une étape essentielle de la révolution écologique et solidaire de nos sociétés.

Agir est sensible à ces problématiques et fera tout son possible pour que la transition climatique soit au cœur du débat public.

Ce n’est pas un sujet de gauche ou de droite, c’est le défi de ce siècle et il faut que toutes les forces vives de notre Pays travaillent à le relever grâce à un développement durable.

Compte-tenu de la gravité de la situation, Agir souhaite que soit imaginée un dispositif de sanctions pour contraindre les pays signataires en cas de non respects des accords.

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Agir pour l’extension des droits de congés des aidants familiaux

Agir promeut une vision humaniste de la politique. L’accompagnement des personnes âgées fait partie de ses problématiques sociales prioritaires.

Dans ce cadre, dès le lendemain de sa création, Agir, par la voix de Paul Christophe, propose d’améliorer les conditions des aidants familiaux de personnes âgées dépendantes. 80% des aidants sont des proches des personnes dépendantes. Près de la moitié des actifs sont des aidants.

Aujourd’hui un aidant de personnes âgées dépendantes peut prendre des congés non-rémunérés, via deux dispositifs : le congé de proche aidant et le droit au répit.

[minti_blockquote] Parce qu’agir pour accompagner le vieillissement de la population est un enjeu d’intérêt national. L’aide aux aidants constitue une des pierres de cet édifice. [/minti_blockquote]

Agir souhaite offrir la possibilité à ces aidants de prendre des congés rémunérés via un dispositif de solidarité. Agir veut autoriser qu’un salarié puisse céder ses droits à congé rémunéré à un autre salarié ayant à sa charge une personne âgée dépendante.

>> Êtes-vous pour ou contre cette démarche visant à permettre l’extension des droits de congés des aidants familiaux pour aider à l’accompagnement des personnes âgées ?

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La première proposition d'Agir votée à l'unanimité à l'Assemblée nationale

Ce jeudi 7 décembre, l'Assemblée nationale a adopté en première lecture et à l'unanimité la proposition de loi de Paul Christophe, délégué national d'Agir et rapporteur de la commission des affaires sociales, sur l'extension du don de jours de repos en entreprise pour les aidants familiaux. Cette proposition a été défendue, au nom du groupe UDI, Agir et Indépendants, par Agnès Firmin le Bodo, déléguée nationale d'Agir, qui a relevé son caractère « transpartisan ».

Agir : Un projet humaniste

Agir promeut une vision humaniste de la politique.
Seulement deux jours après sa constitution officielle, Agir a choisi de défendre au parlement une idée de bon sens, réclamée dans la France entière et a donc appelé au vote unanime d'une solution concrète améliorant l'accompagnement des personnes âgées dépendantes.

Par la voix de Paul Christophe et Agnès Firmin le Bodo, Agir et son allié UDI ont défendu pour les aidants, dont près de la moitié sont des actifs, le droit de prendre des congés rémunérés via un dispositif de solidarité.
80% des aidants sont des proches des personnes dépendantes.

Une nouvelle attitude politique

Pour sa première proposition Agir a choisi une problématique humaniste et transpartisane qui a finalement obtenu le soutien du gouvernement.
L'Assemblée nationale a voté le droit nouveau pour un salarié de céder ses droits à congé rémunéré à un autre salarié ayant à sa charge une personne âgée dépendante.
Les orateurs de tous les groupes parlementaires ont soutenu cette proposition. Seule la France insoumise a émis des critiques sans pour autant voter contre.

Agir souhaite travailler avec toutes celles et ceux qui veulent réformer le pays.
Paul Christophe a d'ailleurs déclaré « avec le vote de cette proposition, j'espère trouver aujourd'hui dans cet hémicycle, 577 ambassadeurs de la cause des aidants ».

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Communiqué de presse du 5 décembre

Ce mardi 5 décembre, le parti Agir - La Droite constructive s’est officiellement constitué autour des 20 membres fondateurs, délégués nationaux, qui s’organisent pour travailler de manière collaborative avec les citoyens.

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«Agir, la droite constructive», une nouvelle force politique à droite

Au printemps dernier, les Françaises et les Français ont exigé du concret, de l'action et du courage pour mener enfin les réformes nécessaires à la transformation de notre pays.

Notre devoir et notre responsabilité sont d'être utiles et de faire de ce quinquennat une réussite pour la France. C'est pourquoi nous avons fait le choix de soutenir les réformes engagées dans de nombreux domaines par l'actuel gouvernement mené par un Premier ministre issu de la droite. La fiscalité au service de la croissance, la simplification du droit du travail, l'acquisition des fondamentaux à l'école et la modernisation de l'action publique sont autant de réformes que nous avons appelées de nos vœux et que nous comptons aujourd'hui accompagner dans leur mise en œuvre.

Pour autant, nous sommes libres. Nous serons forces de propositions pour défendre les idées libérales, sociales, européennes, humanistes et réformistes de la droite et du centre, et nous saurons nous opposer chaque fois que cela sera nécessaire.

Nous refusons de voir la droite s'enfermer dans une ligne identitaire, autoritaire, eurosceptique et ultraconservatrice. Cette stratégie exacerbe les tensions de la société française et conduit à l'échec.

À l'appel de tous ceux qui se reconnaissent dans notre démarche et sont attachés aux valeurs de la droite et du centre qui ont présidé à la fondation de l'UMP par Jacques Chirac, Alain Juppé, Jean-Pierre Raffarin et Nicolas Sarkozy, nous fondons aujourd'hui un nouveau parti: Agir, la droite constructive.

Agir, une force qui rassemble.

Agir s'oppose à tout rapprochement avec le Front National et s'engage à combattre son idéologie.

Agir, réformateur et force de propositions, va contribuer activement à la transformation de notre pays.

Agir est attaché au respect de l'autorité de I'État et de l'ordre républicain, garant de la sécurité et des libertés publiques.

Agir, force humaniste, s'adresse à tous et s'engage dans la construction d'une société apaisée.

Agir, force libérale et sociale, croit en la responsabilité individuelle et en l'égalité des chances et valorise le mérite et la réussite, tout en étant convaincu qu'il n'y a pas de progrès économique durable sans respect de l'exigence de solidarité et de justice.

Agir, force tournée vers l'avenir, s'empare des grands enjeux contemporains tels que la révolution numérique et la transition écologique.

Agir, puise sa force au cœur des territoires, fédère des acteurs de terrain au plus près de nos espaces ruraux, urbains et ultramarins, et s'enrichit de l'expérience des Français de l'étranger.

Agir, pro-européen, s'engage pour une refondation en profondeur de I'Union afin qu'elle porte l'ambition des peuples qui la composent.

Nous croyons en la France. Fiers de son histoire et de sa culture, nous pensons que la France ne peut être forte qu'au sein d'une Europe forte.

Nous appelons tous ceux qui partagent notre volonté d'agir et se sentent orphelins d'une droite moderne, réformatrice et modérée à se joindre à nous. Dans le nouvel espace politique qui vient de s'ouvrir, nous serons le lieu du débat, de l'affirmation de nos idées et de l'action collaborative.»

Les membres fondateurs: Olivier Becht, député du Haut-Rhin, Jérôme Bignon, sénateur de la Somme, Pierre-Yves Bournazel, député de Paris, Emmanuel Capus, sénateur de Maine-et-Loire, Alain Chrétien, maire de Vesoul, Paul Christophe, député du Nord, Laure de La Raudière, députée d'Eure-et-Loir, Robert del Picchia, sénateur représentant les Français établis hors de France, Agnès Firmin-Le Bodo, députée de Seine-Maritime, Antoine Herth, député du Bas-Rhin, Fabienne Keller, sénatrice du Bas-Rhin, Vincent Ledoux, député du Nord, Frédéric Lefebvre, ancien ministre, Lise Magnier, députée de la Marne, Claude Malhuret, sénateur de l'Allier, Colette Mélot, sénatrice de Seine-et-Marne, Franck Riester, député de Seine-et-Marne, Tokia Saïfi, députée européenne, Louis Vogel, maire de Melun.

 

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Notre-Dame-des-Landes : l’indécision n’était plus une option

Franck Riester, délégué national d’Agir, a interrogé cet après-midi le Premier ministre Edouard Philippe suite à son annonce de l’abandon du projet d'aéroport de Notre-Dame-des-Landes. Après quarante ans de tergiversations et de revirements, il était urgent qu’une décision soit prise.

Le gouvernement, qui a commencé à déployer des forces de l’ordre à proximité de Notre-Dame-des-Landes, doit maintenant évacuer le site occupé illégalement par des activistes et ainsi mettre fin à cette zone de non droit. Il en va du respect de l’autorité de l’Etat.

Cette conclusion, qui va à l’encontre des décisions prises par les élus locaux et du choix des citoyens exprimé par référendum, a néanmoins déclenché beaucoup d’incompréhension. A présent que le dossier a été tranché, le Premier ministre, qui a déjà rencontré les élus concernés par le projet la semaine dernière, doit travailler avec les acteurs locaux pour trouver des solutions de mobilité alternative au projet d’aéroport de Notre-Dames-des-Landes, qui permettait de renforcer l’attractivité du grand Ouest. Qu’il s’agisse du réaménagement de Nantes-Atlantique ou de toute autre solution, il est urgent d’œuvrer à désenclaver ce territoire.

Regarder la question au gouvernement en vidéo

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